CONSEIL MUNICIPAL du Jeudi 21 septembre :La passerelle du RER condamnée!

Le sort de la passerelle est scellé.Ce point a été abordé au dernier conseil. Mauricette Hubner au nom de notre groupe a exposé avec beaucoup de mesure, notre regard sur la transformation urbaine proposé par le Maire.

Le Maire de Boissy n'en démord pas et reste sourd et moqueur face au l'appel du groupe rassemblement citoyen au conseil municipal.

Intervention du Groupe Rassemblement Citoyen

Madame Catherine Michel-Madame Mauricette HUBNER et Monsieur JENDOUBI

Point 12-ZAC de la Charmeraie- Approbation du dossier de réalisation

Nous sommes d’accord sur la nécessité de rénover le quartier de la Haie Griselle ainsi que sur la destruction du Centre Commercial actuel. Celui-ci, totalement obsolète, est devenu une véritable verrue dans le quartier.

Nous sommes d’accord sur l’ouverture du quartier par des voies pénétrantes

Nous sommes d’accord quant à la construction de logements en accession à la propriété et nous applaudissons la présence de 3000 m2 à prix maîtrisés ainsi que la démolition/reconstruction du foyer ADOMA. Ce qui permettra d’accueillir dignement les familles les plus fragiles.

En revanche, nous ne partageons pas votre point de vue en ce qui concerne :

-La destruction de la passerelle, ce qui enverra un flux de piétons sur l’avenue du Gal De Gaulle et accentuera les bouchons dans le quartier Savereau

- Nous pensons insuffisantes les surfaces associatives -200 m2 de prévu- et ce d’autant plus qu’elles ne viennent qu’en remplacement de celles qui seront démolies. Quant aux 100 places de parking, que dire ? Sinon que cela nous parait particulièrement insuffisant pour recevoir, les clients des commerces mais aussi les adhérents de la bibliothèque, de la piscine et de la maison de la petite enfance.

-Quant aux surfaces commerciales, nous regrettons qu’elles ne soient pas suffisamment importantes et attrayantes pour attirer les habitants des autres quartiers de Boissy-St-Léger. Ce qui fait que la haie Griselle ne s’ouvrira que sur elle-même.

Voici donc les remarques que nous aurions inscrites sur les registres de consultation du public si nous avions été mieux informés sur les dates et que celles-ci aient eu lieu en dehors d’un mois de vacances Juin/juillet.